<p><span style= »font-size:12pt »><span style= »font-family:Calibri,sans-serif »><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>Il lui est reproché des exhibitions sexuelles, en dévoilant son sexe à des clients du restaurant et en urinant devant eux. </span></span></span></span></p>
<p><span style= »font-size:12pt »><span style= »font-family:Calibri,sans-serif »><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>« Je n’étais pas là le 30 mai, le jour des faits », affirme l’octogénaire droit dans ses bottes. "J'étais chez des amis", poursuit-il. </span></span></span></span></p>
<p><span style= »font-size:12pt »><span style= »font-family:Calibri,sans-serif »><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>« Dès le départ de cette location il y a plusieurs années, mes clients ont subi des exhibitions sexuelles. Il est difficile, impossible de travailler normalement, ils ont été visés par des menaces de mort, des actes de vandalisme. Il est allé jusqu’à détruire le mécanisme de la piscine », indique l’avocat de la partie civile Maître Jean-François Casile. </span></span></span></span></p>
<p><span style= »font-size:12pt »><span style= »font-family:Calibri,sans-serif »><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>« Nous sommes là uniquement pour l’exhibition sexuelle et un témoin dit à deux reprises qu’il a vu monsieur s’exhiber », estime pour sa part le procureur Willy Lubin en demandant une condamnation de l'octogénaire.</span></span></span></span></p>
<p><span style= »font-size:12pt »><span style= »font-family:Calibri,sans-serif »><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>« Les preuves sont insuffisantes, très largement insuffisantes et puis à 87 ans il n’a jamais eu de soucis judiciaires », plaide l’avocat du prévenu en réclamant la relaxe de son client. </span></span></span></span></p>
<p><span style= »font-size:22.0pt »><span style= »font-family:"Times New Roman",serif »>Un prévenu qui est finalement condamné par la présidente du tribunal correctionnel de Nîmes, Sophie Baudis, à 1 000 euros d’amende avec sursis et à payer 500 euros de dommages et intérêts à sa locataire. Par contre il n'est pas inscrit au fichier des délinquants sexuels. </span></span></p>